L’édit de Françoise GIROUD le … 2 octobre 1958

le .

« Voilà, c’est fait. Et nul n’a le droit en démocratie de s’insurger contre les vœux de la majorité. Une importante majorité du peuple français a voulu se donner un roi. Elle l’a. Si elle a eu tort, c’est que le suffrage universel a tort ». L’avenir dépend de nous, du « courage de tous ceux qui ont voulu dire non au fascisme en disant oui à de Gaulle ».

Tags: fascisme