Ils entreprennent

Couvert végétal et bois énergie

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SERRES MORLAAS

Quand Nicolas Sarthou décide en 2012 d’arrêter la production laitière, il a une seule idée en tête : trouver des solutions pour compléter son seul revenu de maïsiculteur.
Il expérimente seul le couvert végétal (phacelie, avoine, pois, vesse, féverole, navette) pour économiser l’engrais maïs et commercialiser du fourrage sec suite au séchage du couvert.
Cette année, il vient de louer un séchoir à maïs qu’il va chauffer avec le bois disponible sur l’exploitation ; la même énergie servira à sécher les fourrages.
« C’est la rencontre avec les gens et l’échange qui permet à chacun de trouver les meilleures solutions ! »

Passion lait...

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LEES ATHAS

En 2004, Pierre-Frédéric Patie reprend l’activité familiale après une expérience professionnelle à l’extérieur. La passion est au cœur du métier de ce jeune chef d’exploitation de 31 ans qui n’imaginait pas s’installer dans une autre production que celle des vaches laitières démarrée par son père.
Dans un contexte économique difficile, il a fait le choix de limiter les charges. Parti du principe que la vache est un herbivore, il va lui fournir de l’herbe et ainsi radicalement changer son métier au quotidien : apport de l’herbe à la vache pour ne pas abimer le potentiel des prairies, augmentation de la surface en herbe et diminution des achats d’aliments.
Production et qualité du lait sont au rendez vous… et aujourd’hui, Pierre-Frédéric est très heureux de ses choix !

Kriaxera ou cridassere... A Bidache, c'est le canard "Thicoun"

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BIDACHE

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A 22 ans, Marc Lataillade s’installe avec ses parents Alain et Florence sur la ferme « thicoun » bien connue dans le pays de Bidache. Cette famille d’accouveurs travaille une vieille souche de canards : « kriaxera » pour les basques, « cridassere » pour les béarnais.
Ce canard noir offre des qualités gustatives incomparables très prisées par les conserveurs fermiers et les restaurateurs connaisseurs.
Encouragé par une demande croissante, Marc fourmille d’idées de développement commercial pour son produit original…

Des mains magiques

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SAUVAGNON

 

Comme une pianiste, Claudie Abadie Senaneuch accorde une grande importance à exercer la sensibilité de ses mains. C’est après une expérience enrichissante en milieu hospitalier que cette kinésithérapeute se tourne vers la pratique privée et ouvre son cabinet en 1995 à Sauvagnon.  Pour Claudie, la formation scientifique et les stages de perfectionnement auxquels elle participe assidûment sont des incontournables, mais le kiné doit savoir aller plus loin, se donner d’autres repères. Elle souligne que pour détecter les dysfonctionnements du corps, il faut aussi apprendre l’écoute au sens large : l’écoute par les mains et aussi l’écoute attentive du client qui détient souvent une partie du diagnostic. C’est d’ailleurs en faisant « l’éloge à l’Écoute » que Claudie Abadie Senaneuch raconte sa relation avec les consultants de l’ADER. L’Écoute n’est-ce pas l’un des éléments moteurs de l’ADER ?