Ils entreprennent

Un commerce atypique

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NARCASTET

C’est sur un coteau de Narcastet qui domine la plaine de Nay, que Maïté Poumès, son mari Claude et leur fils Jean-Philippe exploitent des serres horticoles.
Plusieurs fois par semaine ils font les marchés de Pau, Tarbes et Lourdes.
Depuis quelques mois Jean-Philippe a voulu donner un nouvel élan à leur entreprise.

Il a construit une serre de vente directe au bord de la départementale de Mazères-Lezons à Nay.
Cette serre, à la fois outil de production et de commerce ouverte tous les après-midi, permet d'accueillir les clients qui peuvent visiter et acheter les fleurs produites au pays.

Sur une île !

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SAINTE-MARIE DE GOSSE

Olivier Jeannots, exploitant à  Sainte-Marie de Gosse, au bord de l’Adour dans les Landes est un vrai polyvalent :  champion de pelote basque main nue, pêcheur professionnel sur l’Adour, il est aussi maïsiculteur.
Sa particularité : cultiver une île... dont il est le seul propriétaire et le seul exploitant.
Pour le rencontrer vous prendrez la route si la marée est favorable, sinon il vous faudra faire la traversée en barque... ce qui ne manque pas d’exotisme.

Partir c’est revenir !

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SIROS

Après 6 ans comme ingénieur informatique et un an en Asie, Yannick Chicoulaa décide en 2008 de revenir  à Siros « écouter la terre familiale ».

Il tente alors l’aventure bio.  « L’appui et la compétence de mes voisins ont été déterminants… respecter la terre ça ne s’improvise pas ».

Aujourd’hui Yannick Chicoulaa cultive 35 ha de céréales bio en privilégiant des canaux de vente directe  avec les transformateurs et aspire à une autonomie prochaine pour sécher, stocker et même un jour transformer…

Restera alors à trouver le nom de son huile de Colza !

Séchage en grange

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IDAUX MENDY

Laurent et Pierre Etchebarne, associés du Gaec Etchank, élèvent un troupeau de 400 brebis lacaunes.

Ils avaient prévu de réaliser un séchage en grange dès le construction de la bergerie en 2003.

Face à l’augmentation des coûts alimentaires le projet devient réalité et cet été c’est la première récolte séchée sur place avec 5 ha de luzerne et une vingtaine d’hectares de foin.

Leur objectif : diminuer les achats de protéines et avoir du fourrage de meilleure qualité en s’affranchissant des contraintes météo.