Joyce APPLEBY écrit notamment : "Le capitalisme n'est pas un chapitre dans l'histoire de l'humanité mais plutôt un étonnant écart par rapport aux normes qui prévalaient depuis quatre mille ans" et d'ajouter : "le capitalisme est entré dans l'histoire avec l'accent anglais... On comprend mieux pourquoi NAPOLEON parlait de l'Angleterre comme d'une nation de boutiquiers".

Malgré les turbulences financières et le ralentissement de la croissance dans le monde, l'économie américaine continue de créer de l'emploi à un rythme soutenu. En mars, 215 000 emplois ont ainsi été créés. Une performance inférieure à celle de Février (245 000 emplois créés). On note aussi le retour de 400 000 personnes sur le marché de l'emploi montrant ainsi qu'elles sont plus confiantes en l'avenir.

Il critique le capitalisme en adoptant un point de vue spinoziste et s'inspire de ce dernier sur les passions humaines. Il souhaite la sortie de l'euro, remet en question l'indépendance de la Banque Centrale Européenne, réclame la prise de contrôle des banques en faillite par la puissance publique, veut faire fermer la Bourse, souhaite instaurer des systèmes de délibération locale et le "mandat impératif" (Cf. 1793) ; enfin il prône la régularisation de tous les sans-papiers d'Europe.