"LA MARCHE, ce sentiment indicible d'allégresse"

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J. LACARRIERE qui écrivit : "A quoi bon marcher si longtemps, si ce n'est pas pour devenir ? A quoi bon croire, alors si ce n'est pour en conserver, pour en partager le miracle ?". Marcher écrit-il, "s'est engager ses jambes mais aussi son cœur entre ce qui est possible et impossible". Quant à NIETZCHE, il souligne que "l'homme qui s'approche du but ne marche plus il danse".

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