Sanctions économiques
En dépit des déclarations de V. POUTINE qui minimise leur impact "La Russie", selon Nicolas BAVEREZ, "se trouve dans une situation désespérée qui se traduit par sa rétrogradation de la dixième à la seizième place mondiale". L'activité reculera de 4% en 2015, 2% en 2016 ; la consommation s'écroulera de 7% ; la fuite des capitaux porte sur plus de 150 milliards de dollars en un an, l'inflation culmine à 17% ; les désinvestissements des groupes occidentaux se multiplient ; d'importants mouvements sociaux secouent les services publics.